Association pour la reconnaissance des troubles neurovisuels

"On ne voit pas avec nos yeux...mais avec notre cerveau !"

Si vos yeux sont capables de capter une image, c’est votre cerveau qui lui donne un sens, la mémorise, et la reconnaît. Et quand le cerveau ne peut plus assurer ce rôle, on parle de troubles neurovisuels, c’est-à-dire d’une difficulté à voir la totalité de son champ visuel, à reconnaître les images ou encore à faire attention à tout ce qui est devant nos yeux.

Saviez-vous que plus d' un enfant par classe souffre de troubles neurovisuels (TNV) ?

Aujourd’hui, le diagnostic et la prise en charge de ces troubles sont limités alors même qu’ils ont été découverts il y a plus de 100 ans. Pourtant, ceux-ci peuvent considérablement altérer les apprentissages et le comportement.

Imaginez-vous grandir dans un monde dans lequel vous ne reconnaissez pas les visages de vos proches, vous ne vous repérez pas dans l’espace, vous ne pouvez pas attraper un objet qui est devant vos yeux, ou encore écrire sur une ligne (et ni au-dessus, ni en-dessous…).

Ces troubles ne sont pas irréversibles.

On est aujourd’hui capable de les rééduquer.

Pourtant, trop peu d’enfants sont aujourd’hui dépistés.

Nos missions

Faire connaître les troubles neurovisuels

Favoriser le dépistage précoce de ces troubles et leur prise en charge

Guider la famille et les enseignants

Former un maximum de professionnels

Notre équipe

L’association “Les Yeux dans la tête” est présidée par Virginie Prelle et coordonnée d’un point de vue scientifique par Sylvie Chokron.

Sylvie Chokron

Directrice scientifique de l’association
Neuropsychologue et directrice de recherche 1ère classe au CNRS
Fondatrice et directrice de l’Institut de Neuropsychologie, Neurovision et NeuroCognition
Responsable de l’équipe Perception, Action et Développement Cognitif au sein de l’INCC
Enseignante dans plusieurs masters
Chroniqueuse régulière au Magazine de la Santé et dans Le Monde

Sa grande expérience depuis près de trente ans dans le domaine des troubles neuro-développementaux tant d’un point de vue clinique que fondamental permet aujourd’hui non seulement de mesurer et de comprendre le désarroi des familles face à ces troubles mais également de mettre en place un cadre à même de guider et donc d’aider les parents face au handicap plus ou moins lourd de leur enfant.